mercredi 25 juin 2008
Perché
Comme les sylphes, j'aime bien être en hauteur, ou bien à l'instar de mon chat perché dans le sapin coursé par un impertinent individu canin. Et cela vaut autant au propre qu'au figuré (être en hauteur). Je n'ai pas un penchant pour la domination, mais j'ai bien du mal à sociabiliser avec la communauté du bas-monde! dont je fais partie oui... (je vais rejoindre la ligue "hors du commun des mortels").
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles c'est tellement plus drôle et excitant d'être perché : (en hauteur)
- on a une vue d'ensemble sur nos amis les humains. On décrypte les codes des relations entre les êtres (humains, animaux, végétaux...), les interrelations et relations par procuration, par exemple quelqu'un qui regarde quelqu'un en train de parler avec quelqu'un, aussi nommé le concept de la triangularisation des regards (selon mon voisin de presque maison et camarade de transport en commun)
- on a beau essayer de tisser des liens (superficiels et vains) avec nos amis les humains, c'est un échec. (argumentation pourrie, absence de réel échange, mode ignares et cons enclenché). Donc je préfère élever mes critères relationnels que de "relationner" avec tous pour être con et fier de l'être. J'adore l'anodin, l'impromptu, mais partagé sereinement. Le monde me semble tordu parfois. Je me sens anormale de désirer des échanges sereins!
- J'ai choisi l'auto-exclusion, de fuir les esprits grégaires et je fais des rencontres fascinantes avec les solitaires. J'adore l'échange dual!
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