Vampires, Vampires,
Venez donc faire un tour sur la vallée de mon cou,
Ne soyez pas farouches, ôtez les couches qui le protègent
Et dessinez votre ardeur jusqu'au bout,
N'omettez rien, et faites entrer le diabolique cortège
Dans ma chambrée, porte vers l'au-delà,
Cette bouche en mal d'enfer,
Cette fuligineuse faille amère.
Venez donc faire un tour sur la vallée de mon cou,
Ne soyez pas farouches, ôtez les couches qui le protègent
Et dessinez votre ardeur jusqu'au bout,
N'omettez rien, et faites entrer le diabolique cortège
Dans ma chambrée, porte vers l'au-delà,
Cette bouche en mal d'enfer,
Cette fuligineuse faille amère.

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